Annuaire de Flux RSS amis, optimisé pour le référencement.
La particularité : aucun formulaire de soumission.
Annuaire de Flux RSS › Saint-Etienne › Le Blog Stéphanois - MyOpéra
Le design est un domaine visant à la création d'objets, d'environnements ou d'?uvres graphiques, à la fois fonctionnels, esthétiques et conformes aux impératifs d'une production industrielle. Bien qu'il s'agisse d'un mot anglo-saxon, prononcé [di'zIn], le mot design nous permet de retrouver le sens du mot français dessein (projet) ? dessin dont il tire son étymologie. En effet, à partir du XVIIIe siècle, les mots dessin et dessein prennent des sens distincts, comme si l'art avait fini par séparer le geste de dessiner (dessin) du projet (dessein).
Le mot design est populairement employé pour décrire un objet industriel ayant une forme sophistiquée et une apparence épurée : « Vous préférez les meubles design ou les meubles rustiques ? ». Il s'agit d'une interprétation dérivée du sens original, le design signifie qu'un objet a été pensé, conçu, mais il ne s'agit pas à l'origine d'un registre stylistique, et de ce point de vue, les meubles de André-Charles Boulle ne sont pas moins du design que ceux de Terence Conran.
La gare de St-Etienne Châteaucreux est la principale gare ferroviaire voyageurs de St-Etienne. C'est une gare terminale TGV et TER. Elle est située dans un quartier de Saint-Etienne légèrement excentré : le quartier de Châteaucreux. Ce quartier sera appelé à devenir le centre d'affaires de la ville, notamment avec la construction de nouveau siège de Casino, et également de nouveaux logements de standing, de locaux d'administration. En Octobre 2006, la gare sera reliée au centre-ville de Saint-Etienne grâce à une deuxième ligne de tramway (Place du Peuple - Châteaucreux).
La Gare a été construite en 1885 sous la maîtrise d'ouvrage de la compagnie PLM. Le bâtiment se compose d'une structure métallique ce qui permet de pallier aux affaissements dûs au sous-sol minier de St-Etienne. De plus la gare repose sur un système de vérins hydrauliques qui la soutiennent.
La gare se Châteaucreux a été détruite en 1944, lors des bombardements alliés sur la ville. Elle a été reconstruite à l'identique. Néanmoins, la façade a été repeinte en blanc dans les années 60-70.
En 1985, lors de l'arrivée du TGV, la gare a été rénovée et surtout la façade a retrouvé sa couleur originelle : rouge brique.
Depuis 2005, des rénovations sont en cours dans le cadre de la cerification NF (décrochée en 2006):
L'aile Est est entièrement rénovée.
Les espaces commerciaux et le hall d'accueil voyageurs seront rénovés d'ici 2007.
Saint-Victor-sur-Loire est un bourg médiéval proche de Saint-Étienne, le village se situe sur un piton rocheux que vient encercler la Loire dans un de ses méandres. Il domine le lac de Grangent, sur les rives duquel a été fondé un petit port de plaisance, et est entouré par des monts verdoyants. Quelques sentiers permettent de se promener sur le bord de la Loire.
Bien qu'à l'extérieur de Saint-Etienne, Saint-Victor-sur-Loire en fait partie depuis 1969 en tant que commune associée.
L'Association sportive de Saint-Étienne Loire, (ASSE ou A.S. Saint-Étienne), est un club de football français, fondé en 1919.
Palmarès :
- Champion de France de D1 : 1957, 1964, 1967, 1968, 1969, 1970, 1974, 1975, 1976, 1981
- Champion de France de D2 : 1963, 1999, 2004
- Vainqueur de la Coupe de France : 1962, 1968, 1970, 1974, 1975, 1977
- Trophée des Champions : 1957, 1962, 1966, 1967, 1968
- Coupe Charles Drago : 1955, 1958
Site officiel du club de football
Les gastronomies stéphanoises
- Bugnes, s'apparentant aux beignets (que l'on consomme aussi à Lyon).
- Sarasson : fromage blanc, à l'origine tiré du bas-beurre (sorte de petit lait résultant de la fabrication du beurre). Il est assaisonné aux herbes (ciboulette, éventuellement ail) et accompagne les pommes de terre cuites à l'eau ou à la vapeur. À Lyon, on appelle alors cette préparation la cervelle de canut.
- Rapée : galette de pommes de terre, équivalente à la crique ardéchoise (ou lyonnaise).
Saint-Étienne a ceci de particulier qu'il y existe un patois local appelé « gaga », encore très vivace bien qu'à proprement parler ce ne soit pas un patois, parce qu'il n'y a pas de grammaire spécifique. En revanche, le vocabulaire est plutôt riche, à quoi il faut ajouter un fort accent.
Quelques exemples de mots stéphanois :
- « gaga » : le stéphanois, l'habitant ou la langue
- « beauseigne » : sert à exprimer l'attendrissement, la pitié
- « fouilla » : interjection, exclamation
- « babet » : pomme de pin
- Le Musée d'art moderne : la deuxième collection de France après Beaubourg (plus de 4000 m² de surface d'exposition, plus de 15 000 ?uvres exposées, plus de 900 pièces design?).
- Le Musée d'art et d'industrie : Installé dans un très beau bâtiment Second-Empire récemment remis en valeur.
- Le Musée de la mine : un voyage saisissant dans l'univers de la Mine
- Le Musée du vieux Saint-Étienne. Ce musée se situe dans un magnifique hôtel particulier du XVIIe siècle.
- Le Conservatoire de Saint-Étienne et les Ateliers des meilleurs ouvriers de France expose de nombreuses ?uvres originales créées dans les ateliers situés dans le même site.
- Le Mémorial de la résistance et de la déportation, petit musée exposant l'histoire douloureuse de la résistance et de la déportation lors de la guerre 1939/1945 dans la région.
- Le Musée des transports urbains de Saint-Étienne et sa région, situé à Saint-Priest-en-Jarez (une commune de la banlieue stéphanoise) dans le site du dépôt principal de la STAS (exploitant du réseau urbain stéphanois) expose l'histoire des transports urbains de l'agglomération et abrite quelques uns des anciens matériels de transports urbains de la ville (tramways, trolleybus, bus).
- L'Astronef Planetarium de Saint-Étienne : destination l'Univers pour un voyage passionant site web.
- Parc Giron : Un site qui à reussi sa reconversion, est devenu aujourd'hui un centre d'antiquaire et un lieux très agréable.
- Palais des Spectacles : C'est actuellement la plus grande salle de spectacles de la ville, avec une capacité de 4500 places. Elle sera bientôt remplacée par le futur Zénith (plus de 7000 places).
- L'Esplanade Opéra Thêatre.
- Le Hall C pour les musiques actuelles.
Le patrimoine architectural remarquable de Saint-Étienne, du XIVe siècle au XXe siècle, lui a valu le label Ville d'Art et d'Histoire. décerné en 2000.
La Tour de la Droguerie, la Bourse du Travail, l'Hôtel de Ville, la Préfecture, la Manufacture d'Armes, le plus ancien pont ferroviaire d'Europe continentale (classé monument historique)et bien d'autres édifices sont autant d'exemples de ce patrimoine exceptionnel. Aussi, Saint-Étienne offre plus de 700 hectares de parcs et espaces verts (les plus importants sont le Jardin des Plantes, le Parc de l'Europe, le Parc Montaud et le Parc de la Perrotière), parsemés de sculptures, oeuvres d'art, essences d'arbres? idéal pour la détente, la promenade et pour découvrir la ville sous un autre angle. La ville possède aussi une riche statuaire. Une réplique de la statue de la liberté est visible pas loin du centre-ville. On peut également visiter le chateau de Rochetaillée. A quelques minutes du centre-ville se trouve le parc naturel régional du Pilat, situé dans des forêts de moyenne montagne. Ce vaste parc de plus de 700 km² culmine à 1432 mètres au Crêt de la Perdrix. Il constitue une réserve importante pour la faune et la flore de ces régions montagneuses.
Saint-Etienne fut longtemps une ville secondaire, moins influente ? sur le plan administratif et politique ? que Montbrison, qui fut préfecture avant elle, et même que Feurs, chef-lieu de la Loire de 1793 à 1795. Ce n'est qu'en 1855 que Saint-Etienne, en raison de son rapide développement industriel et démographique, devint chef-lieu du département.
Ce fut en revanche dès le XVe siècle un centre important de production métallurgique (armes blanches puis armes à feu dès les guerres d'Italie de François Ier) mais aussi de petite métallurgie, à la production très variée, appelée "clincaillerie". Se développa aussi la fabrication de rubans (la rubanerie qu'il ne faut pas confondre avec la passementerie) dès le XVIe siècle.
Au moment de la Révolution industrielle s'y développèrent les métiers de métallurgie lourde et l'exploitation massive des mines de charbons. Dans le même temps, Saint-Étienne était devenue la capitale mondiale du ruban en dépit de la concurrence de Bâle.
Au début du XXe siècle, l'industrie de l'arme était dominée par la Manufacture d'armes de Saint-Étienne (MAS) pour le matériel militaire, et la Manufacture française d'armes et cycles (Manufrance) ainsi que de nombreux artisans pour les fusils civils. Malgré la fermeture de Manufrance, il reste encore quelques artisans.
Le premier chemin de fer d'Europe continentale y fut construit à partir de 1823. Il reliait Saint-Étienne à Andrézieux et servait à évacuer le charbon des mines vers les bords de la Loire à partir du 30 juin 1827. Un deuxième fut construit et mis en service de 1830 à 1832 entre Saint-Étienne et Lyon : il transportait fret et voyageurs (à partir de 1831).
Barthélemy Thimonnier y conçut la première machine à coudre en 1830.
La ville fut touchée par le bombardement du 26 mai 1944.
Depuis les années 1970, les industries stéphanoises ont connu de nombreuses difficultés et la ville a connu un important repli économique et démographique. D'une population de 225 825 habitants en 1968, dans ses limites actuelles, elle est passée à 201 569 en 1990 et 183 522 en 1999.
La légende rapporte qu'au temps des Romains, la bourgade portait le nom de Furanum, du nom du Furan, la rivière qui la traverse. Ce nom se serait changé en Furania, nom qu'elle aurait porté jusqu'au Moyen Âge.
Les premières traces écrites (en 1258) de la ville mentionnent Sancti Stephani de Furano (Saint-Étienne de Furan).
La ville étant connue pour ses fabriques d'armes, elle fut momentanément renommée Armeville ou Commune d'Armes pendant la Révolution française.
- Un Zénith verra le jour en 2007/2008 d'une capacité de 7000 places, à l'architecture très audacieuse.
- Une deuxième ligne de tramway est actuellement en construction pour relier la gare de Châteaucreux au centre-ville.
- Construction d'un grand centre d'affaire dans le quartier de Châteaucreux, où Casino (entre autres) ira s'implanter dans les prochaines années au sein d'un nouveau siège social très moderne et plus fonctionnel.
- Construction d'une Cité internationale du design sur le site de l'ancienne manufacture d'armes (ex-GIAT), détruite en partie.
- Réalisation d'une salle des musiques actuelles.
- La Tour Plein Ciel (quartier de Montreynaud) ne devrait plus dominer la ville en 2008.
- Saint-Étienne va se présenter à la candidature de Capitale européenne de la culture 2013.
- Ainsi que nombreux d'autres projets d'envergure moins importante (construction de logements, projets économiques, embellissement de places et rues, mise en valeur du patrimoine?).
La ville a connu dans la deuxième moitié du XXe siècle de nombreuses restructurations et fermetures dans sa sphère industrielle. Après la fermeture de Manufrance, des mines de charbon, de GIAT industries, et les difficultés de l'industrie du cycle, Saint-Etienne était décrite comme une ville en péril. Son activité économique connaît aujourd'hui un renouveau, grâce à des initiatives locales et régionales de pôle d'innovation, de manifestations artistique, et de renforcement de son influence économique.
Les principales activités économiques sont :
- les services ;
- la grande distribution : le Groupe Casino dont Geoffroy Guichard est le fondateur va encore renforcer son lien avec Saint-Étienne dans la construction de son nouveau siège social sur le pôle de Châteaucreux ;
- la santé (hôpitaux, cliniques, maisons de retraite), notamment avec un nouveau pôle hospitalier remplaçant la "Muraille de Chine"
- Les Chocolateries (Chocolat Weiss, Chocolat des Princes?) ;
- l'Optique (avec notamment le Pôle optique et vision) ;
- le Design célébré depuis quelques années déjà avec la Biennale internationale du Design. Ce domaine va d'ailleurs être renforcé avec la construction sur l'ancien site du Giat de la Cité du Design.